L’équipe du filmMel Gibson ne se fixe aucune limite (
Mad Max).
Mel Gibson passe pour un déjanté habité (
L’arme fatale).
Mel Gibson aime les pâtes (
Tequila Sunrise).
Mel Gibson conjugue humour et aventure (
Comme un oiseau sur la branche).
Mel Gibson interprète qui bon lui semble (
Hamlet).
Mel Gibson arbore un sourire ravageur (
Forever young).
Mel Gibson s’amuse (
Maverick).
Mel Gibson incarne la liberté (
Braveheart).
Mel Gibson porte le costume comme personne ; sa distinction, sa virilité, sa plastique le rendent infiniment désirable, hyper sexy, super sensuel (
Payback).
Mel Gibson côtoie Bono (
The million dollar hotel).
Mel Gibson danse comme un dieu sur Frank Sinatra (
Ce que veulent les femmes).
Mel Gibson vit sur un nuage (
Signes).
Mel Gibson possède une imagination débridée (
Apocalypto).
Mel Gibson est l’acteur le plus charismatique du monde (toute sa filmographie).
Mel Gibson me donne l’impression d’avoir toujours 15 ans.
L’histoire
Emma Craven est assassinée sur le perron de la maison de son père (Mel Gibson, donc), inspecteur de la brigade criminelle de Boston. Etait-ce lui qui était visé ou était-ce effectivement elle ? Dans ce cas, pourquoi vouloir se débarrasser d’une stagiaire ? "Suspemse…"
Mon avis
Pour tout vous dire, avant même de voir
Hors de contrôle, j’avais prévu un petit texte me dédouanant de tout parti pris concernant un long métrage mettant en scène Mel Gibson.
Persuadée d’être une fois de plus subjuguée par l’idole de ma jeunesse (et de ma moins jeunesse), je m’étais réservée le droit de ne pas attribuer d’étoiles à ce film afin de rester crédible.
Au fil de la projection, et mon désespoir grandissant, ce texte est passé d’inadapté à totalement incongru.
Par contre, le titre français de
Edge of darkness est on ne peut plus adéquat : tout est absolument hors de contrôle. Les méchants, surjoués, en deviennent risibles. Mel se débat dans un marasme scénaristique d’une nullité ineffable.
Quel déboire !
Date de sortie17 février 2010
Appréciation
1 étoile (sur 5)