L'équipe du film
Réalisation : Steeve McQueen
Avec : Michael Fassbender, Carey Mulligan
Date de sortie
07 décembre 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
jeudi 8 décembre 2011
mercredi 30 novembre 2011
Anorexie (senti)mentale
jeudi 24 novembre 2011
Eros, pathos et anthémis
dimanche 20 novembre 2011
Mister Freeze
Juste un hibou garçon qui cherche une chouette vie
mardi 9 août 2011
Au train où vont les choses...
mardi 2 août 2011
La douleur du dollar
samedi 16 juillet 2011
Marvel house men
dimanche 5 juin 2011
Je est un autre
Tout ça ne vaut pas un clair de lune à Maubeuge
Belle lune belle
L’équipe du film
Terrence Malick (Le nouveau monde, 2006 ; La ligne rouge, 1999) dirige Brad Pitt dans The tree of life, Palme d’or du Festival de Cannes 2011.
L’histoire
Une famille américaine sous la houlette d’un père autoritaire.
Mon avis
Horoscope du mois de mai 2011
Sagittaire (comme Terrence Malick)
Travail
Ce mois-ci devrait voir se concrétiser un projet professionnel d’envergure. Sous l’influence de Jupiter, vous oserez proposer une vision onirique et poético-new age de la création du monde.
Grâce à la lune bien aspectée, vous serez en mesure de présenter une photographie somptueusement sublime, digne du National Geographic.
Vers la fin du mois, vous pourriez bénéficier de la reconnaissance de vos pairs et remporter une récompense, internationale pour les plus ambitieux.
Argent
Un amas de planète dans le secteur financier pourrait vous amener à focaliser sur une célèbre marque de jeans par exemple. Ceci serait susceptible de faire flotter un nuage de discrédit sur votre œuvre. Attention.
Amour
Carpe diem.
Date de sortie
17 mai 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Terrence Malick (Le nouveau monde, 2006 ; La ligne rouge, 1999) dirige Brad Pitt dans The tree of life, Palme d’or du Festival de Cannes 2011.
L’histoire
Une famille américaine sous la houlette d’un père autoritaire.
Mon avis
Horoscope du mois de mai 2011
Sagittaire (comme Terrence Malick)
Travail
Ce mois-ci devrait voir se concrétiser un projet professionnel d’envergure. Sous l’influence de Jupiter, vous oserez proposer une vision onirique et poético-new age de la création du monde.
Grâce à la lune bien aspectée, vous serez en mesure de présenter une photographie somptueusement sublime, digne du National Geographic.
Vers la fin du mois, vous pourriez bénéficier de la reconnaissance de vos pairs et remporter une récompense, internationale pour les plus ambitieux.
Argent
Un amas de planète dans le secteur financier pourrait vous amener à focaliser sur une célèbre marque de jeans par exemple. Ceci serait susceptible de faire flotter un nuage de discrédit sur votre œuvre. Attention.
Amour
Carpe diem.
Date de sortie
17 mai 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
dimanche 15 mai 2011
J’aurais voulu être un artiste
L’équipe du film
Le 41ème Woody Allen ouvre le 64ème Festival de Cannes.
A Minuit à Paris, circule une pléiade d’artistes dont Katy Bates et Adrien Brody.
L’histoire
Gil (Owen Wilson) va épouser Inez (Rachel McAdams).
Auteur à succès de scénarii pour la télévision américaine, il rêve d’écrire un roman, à Paris, dans une chambre sous les toits, là où les plus grands auteurs des années 1920 ont trouvé l’inspiration.
Fadaises pour Inez et ses richissimes parents. Ils s’installeront à Malibu, un point c’est tout.
Mon avis
Un rêve
deux choix
trois rabats joies
quatre étoiles
un bistro
du pathos
un rhinocéros
une averse
un parapluie un chauve sourit
un mouton de Panurge
un Woody à laine, un Wooly Allen, un Moody Allen, un Woody Allen
une nuit un tour de magie
un carrosse
un autre rhinocéros
un vieil album de Cole Porter
les salons de Gertrude Stein
Scott et Zelda Fitzgerald
un verre deux verres trois verres avec Hémingway
une Bohème de Dan Franck
un Dali qui se prend pour Eros
et…
plusieurs rhinocéros.
Date de sortie
11 mai 2011
Appréciation
3 étoiles (sur 5)
Le 41ème Woody Allen ouvre le 64ème Festival de Cannes.
A Minuit à Paris, circule une pléiade d’artistes dont Katy Bates et Adrien Brody.
L’histoire
Gil (Owen Wilson) va épouser Inez (Rachel McAdams).
Auteur à succès de scénarii pour la télévision américaine, il rêve d’écrire un roman, à Paris, dans une chambre sous les toits, là où les plus grands auteurs des années 1920 ont trouvé l’inspiration.
Fadaises pour Inez et ses richissimes parents. Ils s’installeront à Malibu, un point c’est tout.
Mon avis
Un rêve
deux choix
trois rabats joies
quatre étoiles
un bistro
du pathos
un rhinocéros
une averse
un parapluie un chauve sourit
un mouton de Panurge
un Woody à laine, un Wooly Allen, un Moody Allen, un Woody Allen
une nuit un tour de magie
un carrosse
un autre rhinocéros
un vieil album de Cole Porter
les salons de Gertrude Stein
Scott et Zelda Fitzgerald
un verre deux verres trois verres avec Hémingway
une Bohème de Dan Franck
un Dali qui se prend pour Eros
et…
plusieurs rhinocéros.
Date de sortie
11 mai 2011
Appréciation
3 étoiles (sur 5)
dimanche 10 avril 2011
Bella ciao
dimanche 27 mars 2011
I am what I am
jeudi 24 mars 2011
Damon is woman's best friend
mercredi 16 mars 2011
Prolétaires de tous les pays, réjouissez-vous !
L’équipe du film
Cédric Klapisch (Paris, 2008) fait naufrage.
L’histoire
France (Karine Viard) travaille pour Stéphane (Gille Lellouche), magnat de la finance, responsable de la fermeture de l’entreprise qui l’embauchait depuis vingt ans.
Mon avis
Prolétaires de tous les pays, réjouissez-vous !
D’après Cédric Klapisch, vous avez la chance d’échapper au cynisme et à l’absence de valeurs qui gangrènent la vie des riches. Les pauvres sont entourés de leurs amis, de leur famille, et même si accessoirement ils n’arrivent pas à subvenir à leurs besoins primaires : payer le loyer, acheter de la nourriture, scoop sociologique : ils ne sont pas seuls comme peuvent l’être les nantis. Morale de l’histoire : mieux vaut être pauvre que riche. Comment peut-on tenir un discours aussi consternant ? Assumer de telles inepties ?
Bien évidemment la dichotomie financière comprend, pour le même prix, le clivage géographique. La vie de tous les parisiens est différente de celle de tous les nordistes ; l’occasion de dresser un portrait original et fidèle du dunkerquois typique. Qui habite Dunkerque, fait carnaval, fume à gogo et picole le soir pour oublier la rudesse du quotidien, vit en communauté et ne s’exprime que de manière gutturale, incapable de prononcer correctement les sons "a" et "in".
Les riches sont tous pourris donc régalons-nous de notre pauvreté ; cette pauvreté grâce à laquelle nos relations humaines sont si luxuriantes ; cette pauvreté qui offre à de plus en plus de personnes la convivialité des refuges pour sans domicile fixe.
Date de sortie
6 mars 2011
Appréciation
1 étoile (sur 5)
Cédric Klapisch (Paris, 2008) fait naufrage.
L’histoire
France (Karine Viard) travaille pour Stéphane (Gille Lellouche), magnat de la finance, responsable de la fermeture de l’entreprise qui l’embauchait depuis vingt ans.
Mon avis
Prolétaires de tous les pays, réjouissez-vous !
D’après Cédric Klapisch, vous avez la chance d’échapper au cynisme et à l’absence de valeurs qui gangrènent la vie des riches. Les pauvres sont entourés de leurs amis, de leur famille, et même si accessoirement ils n’arrivent pas à subvenir à leurs besoins primaires : payer le loyer, acheter de la nourriture, scoop sociologique : ils ne sont pas seuls comme peuvent l’être les nantis. Morale de l’histoire : mieux vaut être pauvre que riche. Comment peut-on tenir un discours aussi consternant ? Assumer de telles inepties ?
Bien évidemment la dichotomie financière comprend, pour le même prix, le clivage géographique. La vie de tous les parisiens est différente de celle de tous les nordistes ; l’occasion de dresser un portrait original et fidèle du dunkerquois typique. Qui habite Dunkerque, fait carnaval, fume à gogo et picole le soir pour oublier la rudesse du quotidien, vit en communauté et ne s’exprime que de manière gutturale, incapable de prononcer correctement les sons "a" et "in".
Les riches sont tous pourris donc régalons-nous de notre pauvreté ; cette pauvreté grâce à laquelle nos relations humaines sont si luxuriantes ; cette pauvreté qui offre à de plus en plus de personnes la convivialité des refuges pour sans domicile fixe.
Date de sortie
6 mars 2011
Appréciation
1 étoile (sur 5)
lundi 14 mars 2011
Two grains of sand
L’équipe du film
Pour Photo obsession (avec Robin Williams), Mark Romanek a décroché le Prix du jury du Festival du cinéma américain de Deauville en 2002. Never let me go (adaptation du roman de Kazuo Ishiguro : Auprès de moi toujours) a été nommé aux Independent spirit awards 2011 pour la meilleure photographie.
L’histoire
Kathy (Carey Mulligan), Ruth (Keira Knightley) et Tommy (Andrew garfield) grandissent ensemble.
Vous en savez déjà trop.
Mon avis
Dans une temporalité parallèle, sur fond de bocage anglais, l’horreur, la douleur, la résignation.
Un voyage poétique bouleversant dont on peine à se relever.
Et pourtant on en redemande !
Date de sortie
02 mars 2011
Appréciation
4 étoiles (sur 5)
Pour Photo obsession (avec Robin Williams), Mark Romanek a décroché le Prix du jury du Festival du cinéma américain de Deauville en 2002. Never let me go (adaptation du roman de Kazuo Ishiguro : Auprès de moi toujours) a été nommé aux Independent spirit awards 2011 pour la meilleure photographie.
L’histoire
Kathy (Carey Mulligan), Ruth (Keira Knightley) et Tommy (Andrew garfield) grandissent ensemble.
Vous en savez déjà trop.
Mon avis
Dans une temporalité parallèle, sur fond de bocage anglais, l’horreur, la douleur, la résignation.
Un voyage poétique bouleversant dont on peine à se relever.
Et pourtant on en redemande !
Date de sortie
02 mars 2011
Appréciation
4 étoiles (sur 5)
vendredi 11 mars 2011
A la Bale étoile
L’équipe du film
Les scènes de boxe de Fighter (David O. Russell) déclenchent une décharge d’adrénaline comme on n’en n’avait pas reçu depuis Ali (Michael Mann, 2002) et Million dollar baby (Clint Eastwood, 2004).
L’histoire
Phagocyté par sa famille, le boxeur Micky Ward (Mark Wahlberg) percera-t-il dans sa discipline ? Vous le saurez à l’issue d’un combat d’1h53 ; combat avec et face à un frère camé (Christian Bale), une mère destroy (Melissa Leo), sept sœurs harpies.
Mon avis
Mark Wahlberg s’est préparé physiquement durant 4 ans pour faire ce film. Le résultat est impeccable : un boxeur professionnel en chair et en os, sobre, maître de soi. Mais malgré son talent, dès que Christian Bale entre dans le champ de la caméra, Wahlberg s’évapore.
Pas de distance entre Bale et ses personnages ; un jeu viscéral, une interprétation magnétique.
Christian Bale n’en finit pas d’être prodigieux.
Exceptionnel.
Date de sortie
09 mars 2011
Appréciation
4 étoiles (sur 5)
Les scènes de boxe de Fighter (David O. Russell) déclenchent une décharge d’adrénaline comme on n’en n’avait pas reçu depuis Ali (Michael Mann, 2002) et Million dollar baby (Clint Eastwood, 2004).
L’histoire
Phagocyté par sa famille, le boxeur Micky Ward (Mark Wahlberg) percera-t-il dans sa discipline ? Vous le saurez à l’issue d’un combat d’1h53 ; combat avec et face à un frère camé (Christian Bale), une mère destroy (Melissa Leo), sept sœurs harpies.
Mon avis
Mark Wahlberg s’est préparé physiquement durant 4 ans pour faire ce film. Le résultat est impeccable : un boxeur professionnel en chair et en os, sobre, maître de soi. Mais malgré son talent, dès que Christian Bale entre dans le champ de la caméra, Wahlberg s’évapore.
Pas de distance entre Bale et ses personnages ; un jeu viscéral, une interprétation magnétique.
Christian Bale n’en finit pas d’être prodigieux.
Exceptionnel.
Date de sortie
09 mars 2011
Appréciation
4 étoiles (sur 5)
jeudi 10 mars 2011
Top gun
lundi 21 février 2011
I’ve got you under my skin
L’équipe du film
Première réalisation de Massy Tadjedin, Last night met en scène quatre agréables protagonistes : Keira Knightley (Joanna Reed), Sam Worthington (Michael Reed), Eva Mendès (Laura) et Guillaume Canet (Alex).
L’histoire
Tandis que Michael part en voyage d’affaires avec une collègue extrêmement attirante, Joanna croise un ancien french lover. Quelqu’un succombera-t-il à la tentation avant qu’elle ne s’éloigne ?
Mon avis
La réalisatrice éclaire des failles, des boitements, des contradictions, sans jugement, sans parti pris. Elle croque quatre personnages amoureusement et sans manichéisme.
Joanna
Au détriment de son amoureux français, elle a, trois ans auparavant, choisi Michael, premier homme qu’elle ait bibliquement connu.
Charmante, gracieuse, délicate, au début de l’intrigue, elle évoque une héroïne romantique, aussi frêle qu’un oisillon tombé du nid.
Alex
Selon l’un de ses amis, Alex n’est jamais autant lui-même que lorsqu’il est célibataire. Pourtant à Paris une dulcinée l’attend.
Laura
Seule célibataire du quatuor, veuve épicurienne mais pondérée, elle sait ce qu’elle veut, au risque d’y laisser des plumes.
Michael
La subtilité, la nuance ne semblent pas faire partie du quotidien du monolithique Michael (il est un peu basique diraient certains mais bon sang quels pectoraux !). Aussi, son attirance pour Laura fait-elle voler en éclat son schéma bien établi de petit mari propre sur lui. L’attitude de sa femme à son égard est certes plus affectueuse que passionnelle mais n’est-ce pas le devenir de tous les couples ?
Pourquoi suffit-il que Laura repositionne sa robe sur son genou pour que, comme 70 % des spectateurs de la salle, il suffoque (les 30 % restants étant dans le coma depuis qu’elle a ôté son manteau) ?
Elle lui fait tourner la tête mais la moralité, l’honnêteté le taraudent.
Après plusieurs verres d’alcool et sans maillot de bain, il décide de suivre la bomba latina à la piscine déserte de l’hôtel en pleine nuit. Ces nombreux éléments augurent d’un dénouement érotique évident mais nul n’est à l’abri d’un rebondissement fracassant : un livre de mots croisés passionnants abandonné sur une chaise longue, la diffusion d’un épisode inédit de Benny Hill, le surgissement de Largo Winch… peuvent influer sur le cours des choses.
Et si l’on s’en remettait à Oscar Wilde : "Le seul moyen de se délivrer d’une tentation, c’est d’y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu’elle s’interdit." ?
Date de sortie
16 février 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Première réalisation de Massy Tadjedin, Last night met en scène quatre agréables protagonistes : Keira Knightley (Joanna Reed), Sam Worthington (Michael Reed), Eva Mendès (Laura) et Guillaume Canet (Alex).
L’histoire
Tandis que Michael part en voyage d’affaires avec une collègue extrêmement attirante, Joanna croise un ancien french lover. Quelqu’un succombera-t-il à la tentation avant qu’elle ne s’éloigne ?
Mon avis
La réalisatrice éclaire des failles, des boitements, des contradictions, sans jugement, sans parti pris. Elle croque quatre personnages amoureusement et sans manichéisme.
Joanna
Au détriment de son amoureux français, elle a, trois ans auparavant, choisi Michael, premier homme qu’elle ait bibliquement connu.
Charmante, gracieuse, délicate, au début de l’intrigue, elle évoque une héroïne romantique, aussi frêle qu’un oisillon tombé du nid.
Alex
Selon l’un de ses amis, Alex n’est jamais autant lui-même que lorsqu’il est célibataire. Pourtant à Paris une dulcinée l’attend.
Laura
Seule célibataire du quatuor, veuve épicurienne mais pondérée, elle sait ce qu’elle veut, au risque d’y laisser des plumes.
Michael
La subtilité, la nuance ne semblent pas faire partie du quotidien du monolithique Michael (il est un peu basique diraient certains mais bon sang quels pectoraux !). Aussi, son attirance pour Laura fait-elle voler en éclat son schéma bien établi de petit mari propre sur lui. L’attitude de sa femme à son égard est certes plus affectueuse que passionnelle mais n’est-ce pas le devenir de tous les couples ?
Pourquoi suffit-il que Laura repositionne sa robe sur son genou pour que, comme 70 % des spectateurs de la salle, il suffoque (les 30 % restants étant dans le coma depuis qu’elle a ôté son manteau) ?
Elle lui fait tourner la tête mais la moralité, l’honnêteté le taraudent.
Après plusieurs verres d’alcool et sans maillot de bain, il décide de suivre la bomba latina à la piscine déserte de l’hôtel en pleine nuit. Ces nombreux éléments augurent d’un dénouement érotique évident mais nul n’est à l’abri d’un rebondissement fracassant : un livre de mots croisés passionnants abandonné sur une chaise longue, la diffusion d’un épisode inédit de Benny Hill, le surgissement de Largo Winch… peuvent influer sur le cours des choses.
Et si l’on s’en remettait à Oscar Wilde : "Le seul moyen de se délivrer d’une tentation, c’est d’y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu’elle s’interdit." ?
Date de sortie
16 février 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
jeudi 17 février 2011
Action man, le plus grand de tous les héros
Il suffira d'un cygne
mercredi 2 février 2011
BadaBoon
Danse danse autour de la terre
L’équipe du film
Dessine-toi est le deuxième long-métrage de Gilles Porte qui a signé Quand la mer monte en 2004, césar du meilleur premier film.
L’histoire
"Dessine-toi comme tu veux en prenant le temps que du désires…" telle était la consigne donnée aux 4 000 enfants rencontrés dans 33 pays des 5 continents.
Mon avis
Il y a les minimalistes, les loquaces, ceux qui copient, les jumeaux qui prennent toute la place, les inspirés qui remplissent tout l’espace, les concentrés qui tirent la langue, les réalistes, ceux qui ont déjà du style, un style. Et puis il y a ce petit bonhomme qui commence, efface, recommence, efface à nouveau… sans jamais parvenir à esquisser une image de lui-même.
L’expression peinte sur les visages est aussi signifiante que leur représentation.
Date de sortie
26 janvier 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Dessine-toi est le deuxième long-métrage de Gilles Porte qui a signé Quand la mer monte en 2004, césar du meilleur premier film.
L’histoire
"Dessine-toi comme tu veux en prenant le temps que du désires…" telle était la consigne donnée aux 4 000 enfants rencontrés dans 33 pays des 5 continents.
Mon avis
Il y a les minimalistes, les loquaces, ceux qui copient, les jumeaux qui prennent toute la place, les inspirés qui remplissent tout l’espace, les concentrés qui tirent la langue, les réalistes, ceux qui ont déjà du style, un style. Et puis il y a ce petit bonhomme qui commence, efface, recommence, efface à nouveau… sans jamais parvenir à esquisser une image de lui-même.
L’expression peinte sur les visages est aussi signifiante que leur représentation.
Date de sortie
26 janvier 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
vendredi 28 janvier 2011
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
L’équipe du film
En 2010, plusieurs réalisateurs de renom ont posé leur caméra à Paris ; parmi eux Clint Eastwood pour Hereafter, Martin Scorcese pour The invention of Hugo Cabret et Woody Allen pour Midnight in Paris.
L’histoire
Mon premier (Matt Damon) a le pouvoir de communiquer avec les morts. Mais ce qui à ses yeux passe pour une malédiction, apparaît à ceux de son frère comme une source de revenus substantielle. Mon second (Cécile de France), victime d’un tsunami, aperçoit une lumière blanche avant de revenir à la vie. Mon troisième (George et Frankie McLaren) perd son frère jumeau. Mon tout est un périple vers l’infini et au-delà…
Mon avis
Comment dire à quelqu’un qu’on aime que sa dernière œuvre en date n’est pas à la hauteur de son talent, que même si le travail est propre, ça ne casse pas trois pattes à un canard, qu’on aimerait retrouver le souffle de Million Dollar Baby, la puissance de Grand Torino, qu’il se ramollit du biscoto et que ça nous énerve ? Comment lui dire qu’il n’a le droit de vieillir que de manière magistrale ?
Euh… peut-être pas comme ça… non, sans doute pas comme ça.
Date de sortie
19 janvier 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
En 2010, plusieurs réalisateurs de renom ont posé leur caméra à Paris ; parmi eux Clint Eastwood pour Hereafter, Martin Scorcese pour The invention of Hugo Cabret et Woody Allen pour Midnight in Paris.
L’histoire
Mon premier (Matt Damon) a le pouvoir de communiquer avec les morts. Mais ce qui à ses yeux passe pour une malédiction, apparaît à ceux de son frère comme une source de revenus substantielle. Mon second (Cécile de France), victime d’un tsunami, aperçoit une lumière blanche avant de revenir à la vie. Mon troisième (George et Frankie McLaren) perd son frère jumeau. Mon tout est un périple vers l’infini et au-delà…
Mon avis
Comment dire à quelqu’un qu’on aime que sa dernière œuvre en date n’est pas à la hauteur de son talent, que même si le travail est propre, ça ne casse pas trois pattes à un canard, qu’on aimerait retrouver le souffle de Million Dollar Baby, la puissance de Grand Torino, qu’il se ramollit du biscoto et que ça nous énerve ? Comment lui dire qu’il n’a le droit de vieillir que de manière magistrale ?
Euh… peut-être pas comme ça… non, sans doute pas comme ça.
Date de sortie
19 janvier 2011
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
samedi 15 janvier 2011
Voyage à Lilliput
Love at Firth sight
L’équipe du film
The King’s speech de Tom Hooper a remporté le Prix du public au Festival international du film de Toronto en 2010. La même année, il a raflé 5 récompenses aux Prix du cinéma indépendant britannique, les British independant film awards (bifa) : les prix du meilleur film, du meilleur scénario (David Seidler), du meilleur acteur (Colin Firth), du meilleur second rôle masculin (Geoffrey Rush) et du meilleur second rôle féminin (Helena Bonham Carter).
Il compte 7 nominations aux Golden globe awards 2011 qui se dérouleront le 16 janvier à Los Angeles. La cérémonie des Oscars aura lieu le 27 février.
L’histoire
Un bègue peut-il accéder au trône d’Angleterre et assumer ses fonctions ?
Oui si l’on en croit la véritable histoire de George VI, couronné suite à l’abdication de son frère Edouard VIII, oui à force de confiance, de travail et de ténacité.
Mon avis
Le jardinier bégaie vraiment
quaqua(train) pour bébè(gue)
V.O.
Sisi féfé pourpou voirvoir
silesil hensshenss hètt hètté
vovo cricri meumeu zursur
dédé monmon deudeu momor
V.D.
Sisyphe est fait pour pouvoir voir
si le silence en cet été
vaut vos cris, crimes, mesures sûres
des démons, mondes de mots morts.
Jean Lescure, Poèmes pour bègues.
Date de sortie
02 février 2011
Appréciation
3 étoiles (sur 5)
The King’s speech de Tom Hooper a remporté le Prix du public au Festival international du film de Toronto en 2010. La même année, il a raflé 5 récompenses aux Prix du cinéma indépendant britannique, les British independant film awards (bifa) : les prix du meilleur film, du meilleur scénario (David Seidler), du meilleur acteur (Colin Firth), du meilleur second rôle masculin (Geoffrey Rush) et du meilleur second rôle féminin (Helena Bonham Carter).
Il compte 7 nominations aux Golden globe awards 2011 qui se dérouleront le 16 janvier à Los Angeles. La cérémonie des Oscars aura lieu le 27 février.
L’histoire
Un bègue peut-il accéder au trône d’Angleterre et assumer ses fonctions ?
Oui si l’on en croit la véritable histoire de George VI, couronné suite à l’abdication de son frère Edouard VIII, oui à force de confiance, de travail et de ténacité.
Mon avis
Le jardinier bégaie vraiment
quaqua(train) pour bébè(gue)
V.O.
Sisi féfé pourpou voirvoir
silesil hensshenss hètt hètté
vovo cricri meumeu zursur
dédé monmon deudeu momor
V.D.
Sisyphe est fait pour pouvoir voir
si le silence en cet été
vaut vos cris, crimes, mesures sûres
des démons, mondes de mots morts.
Jean Lescure, Poèmes pour bègues.
Date de sortie
02 février 2011
Appréciation
3 étoiles (sur 5)
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