Adam Elliot a remporté, en 2004, l’oscar du meilleur court métrage pour Harvie Krumpet. Il lui a fallu cinq années pour réaliser Mary and Max. Ce film de 92 minutes contient
132 480 images. Il a nécessité la fabrication de 212 marionnettes, 1 026 bouches, 132 décors, 475 accessoires miniatures, 147 costumes.
73 kilos de pâte à modeler ont été magnifiés.
L’histoire
Un narrateur (Barry Humphries) raconte l’amitié par correspondance qui unit, pendant 20 ans, une fillette originaire d’Australie (Toni Colette) à un new-yorkais de 36 ans son aîné (Philip Seymour Hoffman). N’en dévoilons surtout pas davantage.
Mon avis
Cette tragicomédie fourmille de bons mots, d’émotions fortes, de bonheurs indescriptibles. On oublie très vite qu’il s’agit d'un film d'animation tout en continuant d’être émerveillé par les détails. Le choix de la musique, utilisée avec parcimonie, est toujours habile.
Sans mièvrerie, Mary and Max parle de différence, d’acceptation de soi, de besoin d’amour.
Vive les relations épistolaires.
Et vive la poésie d’Adam Elliot.
Date de sortie
30 septembre 2009
Appréciation
5 étoiles (sur 5)
L’histoire
Un narrateur (Barry Humphries) raconte l’amitié par correspondance qui unit, pendant 20 ans, une fillette originaire d’Australie (Toni Colette) à un new-yorkais de 36 ans son aîné (Philip Seymour Hoffman). N’en dévoilons surtout pas davantage.
Mon avis
Cette tragicomédie fourmille de bons mots, d’émotions fortes, de bonheurs indescriptibles. On oublie très vite qu’il s’agit d'un film d'animation tout en continuant d’être émerveillé par les détails. Le choix de la musique, utilisée avec parcimonie, est toujours habile.
Sans mièvrerie, Mary and Max parle de différence, d’acceptation de soi, de besoin d’amour.
Vive les relations épistolaires.
Et vive la poésie d’Adam Elliot.
Date de sortie
30 septembre 2009
Appréciation
5 étoiles (sur 5)
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