L’équipe du film
La filmographie de Tim Burton est aussi luxuriante que sa chevelure.
Citons quelques perles du président du Festival de Cannes 2010 : Les noces funèbres, 2005 ; Sleepy Hollow, 2000 ; Mars attacks !, 1997 ; Edward aux mains d’argent, 1991 ; Beetlejuice, 1988…
L’histoire
Elle s’appelle Alice. Elle a 19 ans. Elle est de retour au pays des merveilles. Et ça va saigner !
Mon avis
Il était une fois un réalisateur génial qui s'était pris les pieds dans un tapis volant, oups.
Techniquement, Tim Burton a dû bien s’amuser, mais quid des émotions ? Quid de la folie ? (A ce propos, quelqu’un est-il en mesure de me dire s’il existe une explication psychologique au fait que Johnny Depp se soit grimé du visage de son épouse ? Vous pouvez envoyer vos réponses à l’adresse mail ci contre. Merci.)
Helena Bonham Carter, la reine de cœur, tire son épingle (à cheveu) du jeu.
Quant au scénariste, "qu’on lui coupe la tête !".
Date de sortie
24 mars 2010
Appréciation
1 étoile (sur 5)
vendredi 26 mars 2010
mardi 23 mars 2010
Youpi ! Dansons la carioca
L’équipe du film
Pour son premier long métrage, Marc Chaumeil a le bon goût de combiner de savoureux ingrédients : François Damiens (grâce à qui Dikkenek d’Olivier Hoofstadt est reconnu de salubrité publique), Julie Ferrier, Romain Duris, Vanessa Paradis et Helena Noguerra font de L’arnaqueur une succulente comédie.
L’histoire
Briseur de couple professionnel, Alex Lippi (Romain Duris, rocambolesque et charmant) s’est adjoint les services de sa sœur Mélanie (Julie Ferrier, épatante), et de son beau-frère Marc (François Damiens, inénarrable) pour enjôler les femmes malheureuses et leur ouvrir les yeux. Mais sa petite entreprise doit faire face à la crise, et le voilà obligé d’accepter une mission difficile mais lucrative : séduire Juliette (Vanessa Paradis) à dix jours de ses épousailles avec un ersatz de prince charmant, riche et bel américain apparemment bien sous tous rapports.
Mon avis
Dans des décors somptueux, avec les moyens techniques de James Bond, des personnages pétillants et cocasses rythment un film plein de fantaisie.
Pas la peine d’épiloguer ; je suis conquise.
Date de sortie
17 mars 2010
Appréciation
3 étoiles (sur 5)
Pour son premier long métrage, Marc Chaumeil a le bon goût de combiner de savoureux ingrédients : François Damiens (grâce à qui Dikkenek d’Olivier Hoofstadt est reconnu de salubrité publique), Julie Ferrier, Romain Duris, Vanessa Paradis et Helena Noguerra font de L’arnaqueur une succulente comédie.
L’histoire
Briseur de couple professionnel, Alex Lippi (Romain Duris, rocambolesque et charmant) s’est adjoint les services de sa sœur Mélanie (Julie Ferrier, épatante), et de son beau-frère Marc (François Damiens, inénarrable) pour enjôler les femmes malheureuses et leur ouvrir les yeux. Mais sa petite entreprise doit faire face à la crise, et le voilà obligé d’accepter une mission difficile mais lucrative : séduire Juliette (Vanessa Paradis) à dix jours de ses épousailles avec un ersatz de prince charmant, riche et bel américain apparemment bien sous tous rapports.
Mon avis
Dans des décors somptueux, avec les moyens techniques de James Bond, des personnages pétillants et cocasses rythment un film plein de fantaisie.
Pas la peine d’épiloguer ; je suis conquise.
Date de sortie
17 mars 2010
Appréciation
3 étoiles (sur 5)
mardi 16 mars 2010
Des chèvres et des hommes
L’équipe du film
Touche à tout du cinéma américain, Grant Heslov a souvent collaboré avec George Clooney. En 2006, il est acteur, scénariste et producteur de Good night, and good luck ; en 2008, acteur et producteur de Jeux de dupe ; en 2009 scénariste de Escape from Tehran dont la sortie est prévue cette année.
Pour The men who stare at goats (ouvrage du journaliste Jon Ronson sur les expériences parapsychologiques menées par l’armée américaine), Grant Heslov enfile la casquette de cinéaste.
L’histoire
Revenu du Vietnam, Bill Django (Jeff Bridges, hallucinant) fonde une unité new age baptisée "Premier Bataillon de la Terre". Son objectif est de faire la guerre autrement qu’avec les armes traditionnelles, en formant des combattants Jedis capables de décupler leurs pouvoirs parapsychiques (lire dans les pensées de l’adversaire, traverser les murs…). Parmi ses plus brillants soldats figure Lyn Cassidy (George Clooney).
Mon avis
Bienvenue à cette parodie militaire loufoque basée sur des faits réels !?!
Touche à tout du cinéma américain, Grant Heslov a souvent collaboré avec George Clooney. En 2006, il est acteur, scénariste et producteur de Good night, and good luck ; en 2008, acteur et producteur de Jeux de dupe ; en 2009 scénariste de Escape from Tehran dont la sortie est prévue cette année.
Pour The men who stare at goats (ouvrage du journaliste Jon Ronson sur les expériences parapsychologiques menées par l’armée américaine), Grant Heslov enfile la casquette de cinéaste.
L’histoire
Revenu du Vietnam, Bill Django (Jeff Bridges, hallucinant) fonde une unité new age baptisée "Premier Bataillon de la Terre". Son objectif est de faire la guerre autrement qu’avec les armes traditionnelles, en formant des combattants Jedis capables de décupler leurs pouvoirs parapsychiques (lire dans les pensées de l’adversaire, traverser les murs…). Parmi ses plus brillants soldats figure Lyn Cassidy (George Clooney).
Mon avis
Bienvenue à cette parodie militaire loufoque basée sur des faits réels !?!
Jeff Bridges sous l’emprise constante de substances illicites distribue des fleurs aux soldats et les entraîne façon Full Metal Jacket version hippie.
Georges, clownesque à souhait, disperse les nuages en les fixant, retrouve son mentor par télépathie… en toute décontraction. Sa moustache beatnik lui donne un petit air de Magnum (ceci n’étant absolument pas une incitation au port de la moustache qui personnellement me hérisse le poil).
Cerise sur le space cake : Kevin Spacey, irréprochable comme à l’accoutumée.
Peace and love.
Date de sortie
10 mars 2010
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Georges, clownesque à souhait, disperse les nuages en les fixant, retrouve son mentor par télépathie… en toute décontraction. Sa moustache beatnik lui donne un petit air de Magnum (ceci n’étant absolument pas une incitation au port de la moustache qui personnellement me hérisse le poil).
Cerise sur le space cake : Kevin Spacey, irréprochable comme à l’accoutumée.
Peace and love.
Date de sortie
10 mars 2010
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
samedi 6 mars 2010
Nein
L’équipe du film
Rob Marshall (Chicago, 2003) avait pour projet d’adapter une comédie musicale à succès des années 80, elle-même tirée du 8 ½ de Federico Fellini.
Honte aux producteurs de l’avoir financé. Honte à Daniel Day-Lewis, Penélope Cruz, Nicole Kidman… d’avoir foulé aux pieds le cinéma italien.
L’histoire
Comment réaliser un film sans scénario ?
Telle est la question que se pose Guido (Daniel Day-Lewis) qui aurait aisément pu s’appeler Vomito tant chanter semble un supplice pour lui (et pour le spectateur).
Rob Marshall n'a visiblement pas trouvé la réponse…
Mon avis
La distribution fait froid dans le dos.
Fergie des Black Eyed Peas ressemble moins à Claudia Cardinale qu’à une mauvaise caricature de Peggy la cochonne (et on ne touche pas aux Muppets !).
Toute en vulgarité, Penélope Cruz se croit dans un film de fesses.
Nicole Botox® Kidman ne joue pas, elle pose. Mais ni la fontaine sur laquelle elle s’appuie (énorme allusion à la Fontaine de Trévi de la Dolce vita), ni la toxine qu’elle s’injecte ne sont suffisamment magiques pour qu’on la prenne pour Anita Ekberg.
Marion Cotillard s’en tire moins mal que les autres ; sans doute parce qu’elle est davantage dans la retenue.
Seule Kate Hudson apporte une touche de fraîcheur en interprétant Cinema italiano ; unique chanson qui reste un peu dans l’oreille parmi tous les morceaux ringards qui se succèdent pendant deux heures abyssales.
Le meilleur, c’est quand ça s’arrête.
Date de sortie
03 mars 2010
Appréciation
1 étoile (sur 5)
Rob Marshall (Chicago, 2003) avait pour projet d’adapter une comédie musicale à succès des années 80, elle-même tirée du 8 ½ de Federico Fellini.
Honte aux producteurs de l’avoir financé. Honte à Daniel Day-Lewis, Penélope Cruz, Nicole Kidman… d’avoir foulé aux pieds le cinéma italien.
L’histoire
Comment réaliser un film sans scénario ?
Telle est la question que se pose Guido (Daniel Day-Lewis) qui aurait aisément pu s’appeler Vomito tant chanter semble un supplice pour lui (et pour le spectateur).
Rob Marshall n'a visiblement pas trouvé la réponse…
Mon avis
La distribution fait froid dans le dos.
Fergie des Black Eyed Peas ressemble moins à Claudia Cardinale qu’à une mauvaise caricature de Peggy la cochonne (et on ne touche pas aux Muppets !).
Toute en vulgarité, Penélope Cruz se croit dans un film de fesses.
Nicole Botox® Kidman ne joue pas, elle pose. Mais ni la fontaine sur laquelle elle s’appuie (énorme allusion à la Fontaine de Trévi de la Dolce vita), ni la toxine qu’elle s’injecte ne sont suffisamment magiques pour qu’on la prenne pour Anita Ekberg.
Marion Cotillard s’en tire moins mal que les autres ; sans doute parce qu’elle est davantage dans la retenue.
Seule Kate Hudson apporte une touche de fraîcheur en interprétant Cinema italiano ; unique chanson qui reste un peu dans l’oreille parmi tous les morceaux ringards qui se succèdent pendant deux heures abyssales.
Le meilleur, c’est quand ça s’arrête.
Date de sortie
03 mars 2010
Appréciation
1 étoile (sur 5)
Inscription à :
Articles (Atom)