L'équipe du film
Mads Mikkelsen est né à Copenhague, le 22 novembre de la même année que Robert Downey Jr.
65, année volcanique ?
Dans Royal Affair (2012), Coco Chanel & Igor Stravinsky (2009), Casino Royale (2006)... il impose son visage à nul autre pareil (impossible de le confondre avec qui que ce soit) et dans Michael Kohlass, son corps, un monument de 1m83, large, puissant, solide comme une montagne, rustique comme un camembert.
L'histoire
L'histoire se passe au XVIème siècle. Michael Kohlass est un marchand de chevaux prospère qui vit avec sa femme et sa fille. William Wallace des Cévennes, il part en guerre contre l'injustice.
Mon avis
N'est pas Mel Gibson qui veut.
Arnaud des Pallières m'a semblé trop sage. Il ne s'est pas emparé de son sujet de manière aussi viscérale que le réalisateur de Braveheart. M'a manqué la fougue. M'a manqué l'instinct.
Il fait néanmoins la part belle à de grands interprètes.
L'apparition de Denis Lavant glace le sang, tant par la raideur de son propos que par son faciès.
La jeune Mélusine Mayance force le respect.
De la famille de Viggo Mortensen et Michael Fassbender, Mads Mikkelsen fascine.
Intensité, magnétisme, charisme. Et s'il avait vraiment tout pour lui ?
Date de sortie
14 août 2013
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
jeudi 29 août 2013
Dark angel
L'équipe du film
Réalisation : Neill Blomkamp
Avec : Matt Damon, Jodie Foster, Sharlto Copley, Alice Braga
Date de sortie
14 août 2013
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Réalisation : Neill Blomkamp
Avec : Matt Damon, Jodie Foster, Sharlto Copley, Alice Braga
Date de sortie
14 août 2013
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Marie pleine de grâce
L'équipe du film
Réalisation : François-Xavier Vives
Avec : Marie Gillain, Jalil Lespert, Miou-Miou, Steve Driesen
Date de sortie
31 juillet 2013
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Réalisation : François-Xavier Vives
Avec : Marie Gillain, Jalil Lespert, Miou-Miou, Steve Driesen
Date de sortie
31 juillet 2013
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
La réalité dépasse l'affliction
L'équipe du film
Réalisation : Shari Springer Berman, Robert Pulcini
Date de sortie
07 août 2013
Appréciation
1 étoile (sur 5)
Réalisation : Shari Springer Berman, Robert Pulcini
Avec : Kristen Wiig, Annette Bening, Darren Criss, Matt Dillon
Date de sortie
07 août 2013
Appréciation
1 étoile (sur 5)
In a rich man's world
jeudi 25 juillet 2013
Ô rage ! Ô désespoir !
L'équipe du film
James Mangold est aux commandes de cet épisode de la vie du plus cinégénique des mutants. Dommage qu'il ait été moins inspiré que pour Walk the line (2005) parce que Hugh Jackman, lui, est toujours aussi habité.
L'histoire
Le soldat japonais, que Wolverine a sauvé du bombardement atomique de Nagasaki en 1945, l'appelle à son chevet. Avant de mourir, Yashida, aujourd'hui à la tête d'un immense empire, propose à Logan de le libérer de son pouvoir de guérison et par là-même du fardeau de l'immortalité. Wolverine va devoir affronter ses cauchemars et les Yakusas pour accompagner la petite fille de Yashida : Mariko, vers la vérité.
Mon avis
Comment peut-on transformer en banalité un mythe aussi titanesque, un personnage aussi gigantesque, complexe et tourmenté ?
Ce film est une double catastrophe. D'une part parce qu'il ne respecte en rien le schéma canonique de la licence X-men. Où sont passés les mutants ? Où sont passées les scènes d'action dignes de ce nom ?
Et d'autre part parce qu'il est plat, prévisible, pas du tout original. On pourrait le confondre tantôt avec un épisode raté de Largo Winch, tantôt avec un ersatz de Millenium (Rila Fukushima en Lisbeth Salander japonisée), tantôt avec tout et n'importe quoi tant il manque de consistance. Ne parlons pas des séquences oniriques ultra kitsch ni de la 3D, argument fallacieux.
Le post-générique (ne quittez pas la salle trop vite ; c'est le meilleur moment du film) annonce habilement X-Men : days of futur de Brian Singer. On a hâte. On a diablement hâte.
Date de sortie
24 juillet 2013
Appréciation
1 étoile (sur 5)
James Mangold est aux commandes de cet épisode de la vie du plus cinégénique des mutants. Dommage qu'il ait été moins inspiré que pour Walk the line (2005) parce que Hugh Jackman, lui, est toujours aussi habité.
L'histoire
Le soldat japonais, que Wolverine a sauvé du bombardement atomique de Nagasaki en 1945, l'appelle à son chevet. Avant de mourir, Yashida, aujourd'hui à la tête d'un immense empire, propose à Logan de le libérer de son pouvoir de guérison et par là-même du fardeau de l'immortalité. Wolverine va devoir affronter ses cauchemars et les Yakusas pour accompagner la petite fille de Yashida : Mariko, vers la vérité.
Mon avis
Comment peut-on transformer en banalité un mythe aussi titanesque, un personnage aussi gigantesque, complexe et tourmenté ?
Ce film est une double catastrophe. D'une part parce qu'il ne respecte en rien le schéma canonique de la licence X-men. Où sont passés les mutants ? Où sont passées les scènes d'action dignes de ce nom ?
Et d'autre part parce qu'il est plat, prévisible, pas du tout original. On pourrait le confondre tantôt avec un épisode raté de Largo Winch, tantôt avec un ersatz de Millenium (Rila Fukushima en Lisbeth Salander japonisée), tantôt avec tout et n'importe quoi tant il manque de consistance. Ne parlons pas des séquences oniriques ultra kitsch ni de la 3D, argument fallacieux.
Le post-générique (ne quittez pas la salle trop vite ; c'est le meilleur moment du film) annonce habilement X-Men : days of futur de Brian Singer. On a hâte. On a diablement hâte.
Date de sortie
24 juillet 2013
Appréciation
1 étoile (sur 5)
dimanche 21 juillet 2013
Hémisphère, hémisphère...
L'équipe du film
Guillermo del Toro (scénariste de Cronos 1993 ; Hellboy I (2004) et II (2008) ; Le labyrinthe de Pan, 2006 ; Le Hobbit : un voyage inattendu, 2012...) s'amuse comme un gamin jouant à la bagarre avec des monstres et des robots. Sauf qu'ici c'est pour de vrai... Le film a coûté 180 millions de dollars.
L'histoire
Les Kaijus exploitent une faille entre deux plaques tectoniques pour s'introduire sur la Terre et la piller. Les Jaegers (rien à voir avec Mick), robots commandés par deux pilotes dont les cerveaux sont interconnectés, vont tenter de les arrêter.
Mon avis
Qu'il est loin le temps des monstres en plastique pas du tout fantastiques qui peuplaient les épisodes de Spectreman ! A l'époque (en 1982, dans RécréA2, sur Antenne 2), ces créatures naissaient de la pollution et de la dégradation de la nature. La catastrophe écologique annoncée par les voraces Kaijus de Pacific Rim est encore plus inquiétante, du fait notamment de la qualité exceptionnelle des effets spéciaux. Par contre, esthétiquement et "techniquement", les Jaegers ne me semblent guère plus impressionnants que les Golgoths ou les Antéraks et bien en-deçà de Goldorak (dont l'intégralité des épisodes est sortie en DVD en juin) qui reste une référence. Allez, tous avec moi : "Goldorak, go. Rétrolaser en action. Goldorak, go. Va accomplir ta mission. Dans l’infini des galaxies, poursuis ta lutte infernale du bien contre le mal." Pas de héros solitaire dans Pacific Rim ; aucune star au casting et pas un des acteurs ne sort du lot. La force vient de l'union avec son binôme.
Guillermo del Toro a truffé son film de second degré (épisodes loufoques, savants frappadingues...) ; preuve qu'il a su garder une certaine distance avec cette démesure.
Son plaisir est communicatif soit, mais pas non plus cornofulguresque.
Date de sortie
17 juillet 2013
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
Guillermo del Toro (scénariste de Cronos 1993 ; Hellboy I (2004) et II (2008) ; Le labyrinthe de Pan, 2006 ; Le Hobbit : un voyage inattendu, 2012...) s'amuse comme un gamin jouant à la bagarre avec des monstres et des robots. Sauf qu'ici c'est pour de vrai... Le film a coûté 180 millions de dollars.
L'histoire
Les Kaijus exploitent une faille entre deux plaques tectoniques pour s'introduire sur la Terre et la piller. Les Jaegers (rien à voir avec Mick), robots commandés par deux pilotes dont les cerveaux sont interconnectés, vont tenter de les arrêter.
Mon avis
Qu'il est loin le temps des monstres en plastique pas du tout fantastiques qui peuplaient les épisodes de Spectreman ! A l'époque (en 1982, dans RécréA2, sur Antenne 2), ces créatures naissaient de la pollution et de la dégradation de la nature. La catastrophe écologique annoncée par les voraces Kaijus de Pacific Rim est encore plus inquiétante, du fait notamment de la qualité exceptionnelle des effets spéciaux. Par contre, esthétiquement et "techniquement", les Jaegers ne me semblent guère plus impressionnants que les Golgoths ou les Antéraks et bien en-deçà de Goldorak (dont l'intégralité des épisodes est sortie en DVD en juin) qui reste une référence. Allez, tous avec moi : "Goldorak, go. Rétrolaser en action. Goldorak, go. Va accomplir ta mission. Dans l’infini des galaxies, poursuis ta lutte infernale du bien contre le mal." Pas de héros solitaire dans Pacific Rim ; aucune star au casting et pas un des acteurs ne sort du lot. La force vient de l'union avec son binôme.
Guillermo del Toro a truffé son film de second degré (épisodes loufoques, savants frappadingues...) ; preuve qu'il a su garder une certaine distance avec cette démesure.
Son plaisir est communicatif soit, mais pas non plus cornofulguresque.
Date de sortie
17 juillet 2013
Appréciation
2 étoiles (sur 5)
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